Rubens Barrichello ... Il semble ... Sauf si je me trompe ... Comme ce qui s'est passé en 2008 ... J'ai assisté à la dernière course de la "Rubens" en F1 en 2011, Interlagos. Comme je l'ai près le même âge de lui, accompagné (et de loin, la télévision) les premières étapes de l'emballer ... L'arrivée en Formule Ford écrasante, juste gagner le débuts en course en 1989 ... Le titre de la Formule Lotus GM-Europe en 1990 ... Le trophée tant convoité des Anglais F-3 en 1991 ... L'arrivée en Formule 1 en 1993 ... Ah ... Cette course à Donington ... Ce duo avec Ayrton ... Il était presque parfait. L'année 1994 a commencé prometteur. Il est venu quatrième dans la ronde d'ouverture au Brésil, devant la foule, le troisième dans Aïda ... Mais tout ce qui est arrivé à Imola ... Je ne sais pas si la mort de son idole, ou l'accident lui-même ... Malgré ses débuts, je suis convaincu que la somme de tous les faits, mais surtout qu'il a été touché, il s'est avéré un tournant dans sa carrière. Enfin, «l'eau» passé, ici, sont enregistrés mes émotions vécues par nostalgie du petit écran, torsion, vibrations, la souffrance, la malédiction, pleurer, sourire et de célébrer ... Très ... Très! Chaque pôle! Comme celle de la GP du Brésil 2009 ... Chaque dépassement! Comme ça dans la dernière courbe du GP 2004 français ... Et à chaque victoire! Comme ça ... Oui .. La première en 2000 en Allemagne ... Il a été inoubliable! Merci, Rubens Barrichello, du Brésil!
Música, Poesia e outra de suas paixões: Automobilismo.
